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  • POUR QUE REVIENNE LA PAIX…..

    Parce que nos cœurs se déchirent…

    Parce que nos mains sont impuissantes …

    Pour que fleurissent les amandiers…

    Pour que vivent les oliviers…

    Pour que roucoulent les colombes…

    Pour un sourire sur le visage d’un enfant…

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    Mahmoud Darwich


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    Les enfants palestiniens sont les premières victimes dans le conflit Israelo-Palestinien

    Il y a aujourd'hui environ 1,7 million d'enfants palestiniens vivant en Cisjordanie et dans le territoire de Gaza, représentant 53% de la population totale palestinienne. Presque tous ces enfants ont subi au moins une violation de leurs droits dans leur courte vie, et plus encore depuis le commencement de l'Intifada. Ces violations vont du harcèlement et des restrictions sur les déplacements quotidiens à la perte d'opportunités à cause du manque d'éducation et de la pauvreté, jusqu'à la perte de la vie.
    Israël a effectivement signé des accords relatifs aux droits de l'Homme, et est considéré comme un État démocratique. Malheureusement, la réalité ne répond pas à ces standards universels, en particulier quant au traitement des Palestiniens vivant en territoire occupé. Les informations sur ces violations sont largement répandues, mais aucune action sérieuse n'est entreprise. La communauté internationale doit assumer sa responsabilité et mettre en application les normes que les États transgressent. Nous demandons vivement à la communauté internationale de commencer cette action dès aujourd'hui, lors de la Journée des Enfants Palestiniens.

    La protection des droits de l'enfant, même dans leur forme la plus élémentaire, est absolument nécessaire et essentielle dans cette situation de plus en plus grave. Le nombre de violations augmente continuellement.

    S .Mansour, psychologue dans le département de santé publique en Palestine à l'université Birzeit , affirme que :

    "Si l’on peut mettre en chiffres les morts, les blessés, les jours d’école perdus, il n’en va pas de même bien sûr des traumatismes psychiques.
    Quelques études épidémiologiques tentent de définir un impact, avec cependant des difficultés méthodologiques importantes : les phénomènes que l’on veut mesurer sont complexes et demandent la mise en place de protocoles de recherche très sophistiqués avec des suivis de cohortes. Le traumatisme n’est pas à l’échelle d’un village ou d’un camp mais à l’échelle de toute la Cisjordanie et de la Bande de Gaza, il ne se limite pas à une cause (tremblement de terre, la chute d’un obus…) mais il est devenu un processus chronique qui prend plusieurs formes (confrontations violentes à une armée d’occupation, accroissement de la pauvreté à cause du blocus, accumulation des expériences d’humiliations, désorganisation du tissu social…). Certes les traumatismes n’ont pas un effet « mécanique » sur le psychisme et la résilience au niveau collectif et individuel en module l’impact."



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